Tomber en amour avec un Mini 9 de Dell

Hier je me suis rendu dans une succursale Best Buy de Montréal et par hasard je suis tombé sur le Mini 9 de Dell (299$ cette semaine en passant).

Wow!

Je suis technologiquement tombé en amour avec ce petit ordinateur portatif.

Un petit écran de 8,9 pouces d’une belle clarté, un mini clavier très facile à utiliser… génial!

J’ai naviguer sur Internet avec et j’ai été conquis.

Son prix aussi, bien qu’il serait davantage intéressant à 50$ de moins.

Incluant la batterie, le Mini Dell, 1,07 kilos.  Une légerté très intéressante.

C’est le plus portable des portatifs.

Bien sûr on n’utilise pas un Mini 9 pour travailler avec Visual Studio ou encore traiter des photos sur Adobe Photoshop. 

1 gig de mémoire seulement et 8 gigs de disque dur.  Certes ça parait primitif mais pour envoyer des courriels, naviguer sur Internet, écrire des textes dans votre suite bureautique préférée, c’est parfait!

Il est clair que le Mini 9 est primitif et que des modèles plus performant verront le jour avec le temps.

Pour ceux qu’il intéresse vraiment, j’ai déjà vu une promotion sur Dell.ca qui permettait d’acheter le Mini 9 à 99$ si vous achetiez un modèle XPS d’un ordinateur portatif.  J’ignore si cette promotion est toujours en cours.

Pourquoi le Wi-Fi payant dans les cafés ?

Je n’ai pas encore compris pourquoi les cafés tel que Second Cup, Starbucks et autres font payer pour accéder à leur système Wi-Fi.
Je croyais ce phénomène typiquement montréalais mais non ont rencontre la même chose à Laval, Québec, Trois-Rivières, New York.

Le Wi-Fi est un plus value qui attire les gens avec leur portable afin de faire de l’Internet tout en consommant une ou plusieurs tasses de café.

Pourquoi faire payer pour cela?

La gratuité d’un tel service attirerait davantage les clients que de faire payé 3,99$, 5,99$ ou un abonnement quelconque.  Parfois les gens ne veulent que lire leurs courriels avec leur iPod Touch ou leur petit portable.  Pourquoi payeraient-ils 3,99$ pour faire cela?

En ces temps de récession il faut vraiment innover ou bien périr, certains commerces périront par leur étroitesse d’esprit.

Fermeture de la librairie Camelot au Carré Phillips

Depuis le 17 janvier dernier ce qu’il restait de la chaîne de librairies Camelot, au Square Phillips à Montréal, a été fermé, et cela en douce.

Après avoir été acquise par Québécor il  ya quelques années, on a observé la chute de cette librairie, jadis un joyau pour les informaticiens.

Sainte-Foy a vu sa succursale fermée, la Place Ville-Marie et finalement celle du carré Phillips.

Sur le site Internet de camelot.ca on nous invite maintenant à se rendre aux magasins Archambault.

J’invite tous les informaticiens du Québec à ne pas s’y rendre et de commander leurs livres informatiques ailleurs.

Québécor a mis cette librairie à terre et c’est à ce demander si cela n’a pas été volontaire de leur part…. Ça on ne le saura jamais.