Quand Future Shop s’y prend mal pour qu’on ne sache pas que Best Buy c’est leur maison mère.

Récemment je magasinais pour un téléphone cellulaire prépayé Rogers.

J’ai fais le tour des sites Internet pour découvrir ceci.  Trop amusant.

À la page du produit téléphone Sony-Ericsson W200a, on peut y voir ceci sur le site de Future Shop.

« 2 par client, Best Buy se réserve le droit de limiter les quantités ».

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Je ne comprends pas Best Buy de s’entêter à laisser croire qu’il y a une compétition entre eux et Future Shop.

Savez-vous comment j’ai finalement mis la main sur mon cellulaire?

J’ai été chez Future Shop, le téléphone était à 89,99$.  Chez Best Buy il était annoncé à 69,99$.  Future Shop me l’a donc laissé à 69,99$.  Rendu à la caisse on m’a enlevé un 2$ supplémentaire.  Résultat, mon téléphone me coûte 67,99$.

Donc à l’avenir chers lecteurs, si vous voyez un article chez Best Buy moins cher que chez Future Shop et qu’il en reste plus.  Allez chez Future Shop ils vous donneront un meilleur prix.

Dès les 26 août chez Future Shop, console 120gb PS3 à 299$

Aux magasins Future Shop et Best Buy (la même compagnie qui gère les deux chaînes) dès le 26 août prochain vous pourrez vous procurer une console de jeux Sony Playstation 3 (PS3) avec un disque dur de 120 gigabytes à 299$.

Enfin Sony baisse ses prix au niveau de ses compétiteurs la XBox 360 de Microsoft et la Wii de Nintendo.

Si Microsoft et Nintendo ne réagisse pas à cette baisse de prix, Sony frappera un circuit avec cette baisse de prix.

Avec Internet, Rupert Murdoch sent la soupe chaude.

Sans aucun doute parce qu’il sent la soupe chaude avec Internet, le groupe métiaque News Corp., propriété du magnat Rupert Murdoch, est en négociations avec d’autres groupes de presse pour créer un consortium qui ferait payer à ses lecteurs l’accès à ses contenus Internet et sur téléphones portables, rapporte le Los Angeles Times vendredi.

Le LA Times assure que le responsable des nouveaux médias au sein de News Corp., Jonatahan Miller, se serait déjà entretenu avec des responsables des sociétés éditrices du New York Times, du Washington Post, de Hearst et du groupe Tribune.

Depuis plusieurs mois, les quotidiens américains doivent faire face à une très forte baisse de leurs revenus provenant de la publicité. Leurs lecteurs sont aussi plus friands des éditions sur Internet, gratuites pour bon nombre de quotidiens.  Certains quotidiensont vu leur édition amputé de plusieurs pages.

Au début du mois, Rupert Murdoch avait cependant indiqué qu’il comptait désormais faire payer les internautes souhaitant lire en ligne les articles des journaux de son groupe, qui compte en son sein le New York Post aux États-Unis, ou encore le Times et le Sun en Grande-Bretagne.

Le Wall Street Journal, également dans le giron de M. Murdoch, fait déjà payer ses lecteurs pour accéder à ses articles sur Internet et revendique être le journal payant le plus lu sur la toile.

Mais selon Alan Mutter, un ancien éditorialiste, la réalité est que, soit tous ceux qui produisent des informations se mettent à faire payer leur produit, soit ceux qui font cavalier seul vont se casser les dents.

Il est évident que quand ce n’est pas gratuit sur Internet, c’est rare que ça connaît un grand succès.  Dans le cas de News Corp. et de Rupert Murdoch on parle de faire payer pour lire des nouvelles ici.

Ça ne tient pas la route.  Pour un site de rencontres, un site d’annonces classées je veux bien, mais pour lire des nouvelles ça n’aacun bon sens.

Rupert Murdoch appartient à cette classe d’individus qui ne semble pas croire au média qu’est le web.  Normal il a bâti sa fortune avec la télévision et les journaux papiers.  Vu son manque de vision, il veut faire reculer le web afin de pouvoir continuer à s’emplir les poches.  Bien ce cher Murdoch devra innover et faire payer les gens pour du contenu de nouvelles ce n’est pas innover mais régresser.

Parlant de la presse écrite.  Je me souviens de l’édition du PC Magazine au début des années 90 qui contenait un bon 350 pages à chaque deux-trois semaines.  Maintenant allez acheter le PC Magazine.  Il a réduit plus de moitié.  Les revenus publicitaires ont diminué.  En informatique parfois les publicités ça informe davantage qu’un article question de se mettre au courant des nouveautés.  C’est maintenant vers le web que se sont tournées les informaticiens et c’est ainsi que le groupe Ziff-Davis a ajouté le .COM à la plupart de ces magazines sur le web.  Mais depuis quelques années, souffrant de la concurrence d’Internet, le groupe Ziff-Davis a essuyé des vagues de désabonnements de ses magazines, mettant en danger son existence même. De 2001 à 2007, ses recettes publicitaires sont passées de 215 à 40 millions de dollars et ses revenus ont été divisés par quatre.  Tout simplement ils n’ont pas su s’adapter assez rapidement.

Le Sélection du Rider Digest est un autre bel exemple.

Le média de l’avenir c’est le web et le contenu portable.  Les journaux, la radio, la télé existeront toujours mais seront davantage des médias relégués au second plan face à Internet.  L’explosion récente des canaux de télé que vous offre votre câblodistributeur est mis en péril à cause de la popularité d’Internet.

Ce qui fait vivre les réseaux de télévisions et les chaînes spécialisés c’est la publicité.  Attendez-vous à voir des fusions et des fermetures de réseaux et de chaînes dans les prochaines années.

Le mode de publicité dit interruptoire est de moins en moins populaire.  La radio est le média ou le mode de publicité interuptoire persistera.  Pour la télévision c’est dépassé.  Certaines agences publicitaires ont amené ce mode de publicité interruptoire au Web.  Par exemple il vous est déjà certainement arrivé de voir une publicité s’afficher sur un site Internet entre deux pages.  Les gens n’aiment tellement pas cela qu’ils ont dû ajouter un hyperlien dans le haut ou dans le bas mentionnant « Sauter cette publicité et accéder à la page que vous désirez ».  Quelle inutilité.  Combien de gens écoutent la publicité et n’utilisent pas ce lien?.

Sur des sites comme Youtube, Youporn et La Presse télé  ont voit de plus en plus une publicité s’affichée pendant un bloc de 30 secondes avant d’accéder au vidéo sélectionné.

C’est malheureux que des gens s’entête à utiliser cette forme de publicité interruptoire alors que le consommateur déteste ce genre de publicité.

Innover ou mourir mais amenez des principes dépassées à une nouvelle plateforme ce n’est pas innover mais être cabochon.

Signaler une MTS (ou MST) à votre ex-conjoint par une carte virtuelle

Parfois le web offre des choses étranges.  Cette-fois ci c’est bien le cas.

Au Brésil, un ancien partenaire sexuel peut se rappeler à son ex par courriel afin de lui signaler qu’il a une maladie sexuellement transmissible (MST).

Le ministère de la Santé du Brésil a créé un site Web pour tenir au courant les personnes concernées, en leur envoyant une carte virtuelle.

Une responsable a en effet constaté que les gens ont du mal à avouer en face à un partenaire qu’ils souffrent du SIDA ou de diverses autres MST, et qu’ils ont pu leur transmettre le virus.  Ainsi les mails peuvent aider les personnes sexuellement actives «à traiter ces maladies directement et lorsque leur exposition au virus est encore minimale».

Sur le site web, une des cartes montre un jeune homme en caleçon qui déclare: «Je ne sais pas si c’est la meilleure façon de te le dire, mais j’ai appris que j’avais une MST». La carte invite le destinataire à aller voir un médecin.

On dirait parfois que le web insite les gens à reculer en arrière et ne pas affronter ses actes.  Le partenaire en question aurait très bien pu prendre le téléphone pour annoncer le tout à son ex.