78% des internautes Chinois téléchargent illégalement

Les internautes Chinois sont les champions du téléchargement illégal de musique, selon un classement de l’institut de sondages Ipsos. Quelque 78% d’entre-eux reconnaissent avoir recours à ces pratiques. La moyenne mondiale est de 44%.

En deuxième position arrivent les Russes, avec 68%, puis les Indiens, avec 48%, les Emirats arabes unis et l’Espagne, avec 44%, le Brésil, avec 42%, et l’Italie, avec 34%.

Le téléchargement illégal semble moins répandu aux Etats-Unis (18%), au Japon (15%), en France (15%), en Grande-Bretagne (12%) et en Allemagne (11%).

Ces chiffres ont été obtenus à l’issue d’un sondage auprès de 6 500 internautes dans douze pays.

Il ne faut pas s’étonner de cela et non plus s’étonner du prix des CD qui ne baissent pas.

Avant un nouvel artiste pouvait s’assurer d’une certaine continuité monétaire en lançant un album.  Maintenant combien de nouveaux artistes vivent d’un lancement d’album?  Ils doivent rapidement se tourner vers les salles de spectacles où le coût des billets est de plus en plus astronomique.

Pour les artistes existants il est clair que leur avenir monétaire passe par les spectacles.  Prenez ce soir où Metallica est en ville à Montréal, à l’achat de bons billets se vendaient 140$ chacun.  Allez voir sur le marché de la revente.  Si vous trouvez de bons billets en bas de 450$ la paire vous serez très chanceux.

L’histoire ne dit pas si les artistes et producteurs ne contribuent pas à ce téléchargement illégal afin d’augmenter le prix des billets.

On observe la même chose au niveau des prix en salle de cinéma.  Vu que plus de gens téléchargent ou copie des films en format DVD, le prix des billets explosent en salle.  Quand on est rendu à payé 13$ le billet pour voir un film, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond.  On parle ici de 26$ pour aller voir le film en salle où la tranquilité n’est même pas garantie.

C’est pourquoi de plus en plus de gens se font leur propre cinéma à la maison avec de gros écrans ou un projecteur.  Ça ne revient pas moins cher sauf qu’ils décident du moment où ils écouteront le film et en toute tranquilité.

Ne soyez pas surpris si bientôt le prix des billets en salle de cinéma montent à 20$.

Je sais que les gens qui téléchargent se disent que les artistes (chanteurs, acteurs etc..) sont riches.  La réalité est tout autre et ce piratage est en train de changer les fondement de ces industries et à long-terme ce n’est pas viable.

Le même phénomène se produit au niveau des logiciels et des jeux vidéos.  Les gens se disent que les Electronic Arts, Microsoft, Symantec, Apple, Autodesk,  McAfee et Adobe de ce monde sont riches et qu’ils n’ont aucun problèmes à télécharger illégalement leurs logiciels.

Il est vrai que les grands producteurs de logiciels sont riches.  Sauf que le problème est que les pirates n’aident pas la cause des petits producteurs de logiciels.  Ainsi les grands devienennt plus grands à cause des pirates.

Je crois que la solution à court terme pour contrer le téléchargement illégal est qu’il devrait y avoir une convention internationale au niveau des fournisseurs Internet pour barrer tous les sites Internet (Torrent et autres) qui permettent le téléchargement illégal de musique, de films et de logiciels.

Allez pirates de ce monde, un peu de conscience et cessez de télécharger illégalement.

Avec Internet, Rupert Murdoch sent la soupe chaude.

Sans aucun doute parce qu’il sent la soupe chaude avec Internet, le groupe métiaque News Corp., propriété du magnat Rupert Murdoch, est en négociations avec d’autres groupes de presse pour créer un consortium qui ferait payer à ses lecteurs l’accès à ses contenus Internet et sur téléphones portables, rapporte le Los Angeles Times vendredi.

Le LA Times assure que le responsable des nouveaux médias au sein de News Corp., Jonatahan Miller, se serait déjà entretenu avec des responsables des sociétés éditrices du New York Times, du Washington Post, de Hearst et du groupe Tribune.

Depuis plusieurs mois, les quotidiens américains doivent faire face à une très forte baisse de leurs revenus provenant de la publicité. Leurs lecteurs sont aussi plus friands des éditions sur Internet, gratuites pour bon nombre de quotidiens.  Certains quotidiensont vu leur édition amputé de plusieurs pages.

Au début du mois, Rupert Murdoch avait cependant indiqué qu’il comptait désormais faire payer les internautes souhaitant lire en ligne les articles des journaux de son groupe, qui compte en son sein le New York Post aux États-Unis, ou encore le Times et le Sun en Grande-Bretagne.

Le Wall Street Journal, également dans le giron de M. Murdoch, fait déjà payer ses lecteurs pour accéder à ses articles sur Internet et revendique être le journal payant le plus lu sur la toile.

Mais selon Alan Mutter, un ancien éditorialiste, la réalité est que, soit tous ceux qui produisent des informations se mettent à faire payer leur produit, soit ceux qui font cavalier seul vont se casser les dents.

Il est évident que quand ce n’est pas gratuit sur Internet, c’est rare que ça connaît un grand succès.  Dans le cas de News Corp. et de Rupert Murdoch on parle de faire payer pour lire des nouvelles ici.

Ça ne tient pas la route.  Pour un site de rencontres, un site d’annonces classées je veux bien, mais pour lire des nouvelles ça n’aacun bon sens.

Rupert Murdoch appartient à cette classe d’individus qui ne semble pas croire au média qu’est le web.  Normal il a bâti sa fortune avec la télévision et les journaux papiers.  Vu son manque de vision, il veut faire reculer le web afin de pouvoir continuer à s’emplir les poches.  Bien ce cher Murdoch devra innover et faire payer les gens pour du contenu de nouvelles ce n’est pas innover mais régresser.

Parlant de la presse écrite.  Je me souviens de l’édition du PC Magazine au début des années 90 qui contenait un bon 350 pages à chaque deux-trois semaines.  Maintenant allez acheter le PC Magazine.  Il a réduit plus de moitié.  Les revenus publicitaires ont diminué.  En informatique parfois les publicités ça informe davantage qu’un article question de se mettre au courant des nouveautés.  C’est maintenant vers le web que se sont tournées les informaticiens et c’est ainsi que le groupe Ziff-Davis a ajouté le .COM à la plupart de ces magazines sur le web.  Mais depuis quelques années, souffrant de la concurrence d’Internet, le groupe Ziff-Davis a essuyé des vagues de désabonnements de ses magazines, mettant en danger son existence même. De 2001 à 2007, ses recettes publicitaires sont passées de 215 à 40 millions de dollars et ses revenus ont été divisés par quatre.  Tout simplement ils n’ont pas su s’adapter assez rapidement.

Le Sélection du Rider Digest est un autre bel exemple.

Le média de l’avenir c’est le web et le contenu portable.  Les journaux, la radio, la télé existeront toujours mais seront davantage des médias relégués au second plan face à Internet.  L’explosion récente des canaux de télé que vous offre votre câblodistributeur est mis en péril à cause de la popularité d’Internet.

Ce qui fait vivre les réseaux de télévisions et les chaînes spécialisés c’est la publicité.  Attendez-vous à voir des fusions et des fermetures de réseaux et de chaînes dans les prochaines années.

Le mode de publicité dit interruptoire est de moins en moins populaire.  La radio est le média ou le mode de publicité interuptoire persistera.  Pour la télévision c’est dépassé.  Certaines agences publicitaires ont amené ce mode de publicité interruptoire au Web.  Par exemple il vous est déjà certainement arrivé de voir une publicité s’afficher sur un site Internet entre deux pages.  Les gens n’aiment tellement pas cela qu’ils ont dû ajouter un hyperlien dans le haut ou dans le bas mentionnant « Sauter cette publicité et accéder à la page que vous désirez ».  Quelle inutilité.  Combien de gens écoutent la publicité et n’utilisent pas ce lien?.

Sur des sites comme Youtube, Youporn et La Presse télé  ont voit de plus en plus une publicité s’affichée pendant un bloc de 30 secondes avant d’accéder au vidéo sélectionné.

C’est malheureux que des gens s’entête à utiliser cette forme de publicité interruptoire alors que le consommateur déteste ce genre de publicité.

Innover ou mourir mais amenez des principes dépassées à une nouvelle plateforme ce n’est pas innover mais être cabochon.

Plusieurs canadiens réclament un Google Adsense Canada

La remontée du dollar canadien pénalise plusieurs propriétaire de site Internet diffusant des annonces de Google Adsense, annonces qui sont payées en dollars américains.

C’est plaisant pour les utilisateurs canadiens de Google Adwords qui eux paient les mots-clés moins chers en dollar américains mais les proprios de sites Internet voient leurs revenus diminués.

Plusieurs réclament que Google lance une version canadienne de Google Adsense afin que leurs revenus se stabilisent et qu’ils ne soient pas effrités par la remontée du dollar canadien face à la devise américaine.

Ça reste à voir mais je serais surpris que Google écoute, ils n’ont pas l’habitude de le faire.

Google veut vous faire économiser de l’électricité

« Si on ne peut pas le mesurer, on ne peut pas l’améliorer. » Cette phrase de Lord Kelvin, de son vrai nom Sir William Thomson, est actuellement utilisée par Google sur la page Internet de son projet PowerMeter.

Qu’est-ce que PowerMeter ?

Très simple, ce projet a comme but de vous aider à réduire votre consommation en électricité vous informant en temps réel sur ladite consommation.

Selon Google, la réduction de la consommation d’électricité d’un individu (famille, bureau etc..) inévitablement par une connaissance parfaite de sa consommation.

Il faut comprendre qu’aux Etats-Unis il se produit encore de l’électricité avec des centrales au charbon et avec des centrales au gaz, ce qui est très polluant.  D’où peut-être l’attrait d’un tel outil.

La pensée de Google avec PowerMeter est que votre entreprise de services vous envoie une facture à la fin du mois avec très peu de détails. La plupart des gens ne savent pas quel niveau d’électricité leurs appareils utilisent, à quel endroit précisément dans la maison ils gaspillent l’électricité, ou à quel point la facture peut grimper selon les différentes saisons ou même l’heure du jour.

Toujours selon Google, des études ont prouvé qu’une meilleure information sur sa consommation permettait de réduire sa facture de consommation d’électricité de 5 à 15 %. Un chiffre loin d’être négligeable, surtout sur une base annuelle. Ainsi, d’après Google, une baisse générale de 10 % de seulement la moitié des foyers américains serait équivalente à la pollution générée par huit millions de voitures.  Intéressant.

Maintenant l’outil il fera quoi ?

Google PowerMeter, à l’état de prototype et testé par les employés de Google, a ainsi pour but de montrer directement sur notre ordinateur (via le portail Internet iGoogle) et en temps réel l’énergie consommée dans notre maison.

Comment ?

Google ne détaille pas encore précisément le fonctionnement de PowerMeter, mais des partenariats avec des entreprises (liées à la fourniture d’électricité) sont en cours.

En exploitant notamment les compteurs intelligents, l’outil PowerMeter s’appuiera sur trois axes :

L’analyse : c’est-à-dire obtenir une meilleure information sur la façon dont vous utilisez l’énergie et ce que vous pouvez faire pour être plus efficace.

L’économie : c’est-à-dire réduire sa facture d’énergie ainsi que ses émissions de carbone par des décisions intelligentes sur l’utilisation de l’énergie.
Le partage : sorte de compétition positive en comparant notre consommation d’énergie avec celle de ses voisins et ses amis.

À suivre, mais ça sent déjà le flop annoncé, d’après moi Duran Duran a plus de chance de réussir un retour que PowerMeter de percer le marché.

Je pense encore que la meilleure façon d’économiser de l’électricité est d’utiliser ce que vous avez de besoin en consommant d’une façon intelligente.  Besoin d’un outil techno pour faire cela? 

L’invention la plus géniale serait un chauffe-eau intelligent car elle est là au Québec notre plus grande consommation d’électricité.  À quoi bon que votre eau chaude soit parfaitement chaude à 10h le matin si vous travaillez de 9h à 17h.  Il serait intéressant d’avoir un chauffe-eau qui fonctionne selon vos heures de consommation.  S’il était éteint 20 heures par jour au lieu de rouler 24 heures sur 24, il est évident que vous auriez ainsi une économie de l’ordre de 15 à 20% sur votre facture d’électricité.  Pour un logement 4 ½ ça représente une économie minimale de 140$ annuellement.  Mais ça votre fournisseur en électricité n’ira pas vous le dire.

La vraie question en économie d’électricité est la suivante.  Pendant que votre domicile est inhabité le jour, combien vous coûte votre consommation d’électricité ?  Je crois que bien des gens seraient surpris du résultat si l’information leur était disponible.

Intel investira 7 milliards aux États-Unis pour produire des processeurs de 32nm

Intel a annoncé cette semaine qu’elle investira 7 milliards aux États-Unis pour développer une manufacture de processeurs de 32nm (nanomètre si vous préférez 32 milliardièmes de mètres).

C’est une excellente nouvelle pour le secteur manufacturier américain.

Ce n’est parcontre pas une bonne nouvelle pour son compétiteur AMD qui a perdu 1,6 milliards l’an passé.

Lola et Éric, la surprise .com

Après le cirque médiatique de Lola et Éric qui s’affrontaient en Cour au Québec voici ma surprise.

Personne n’a eu l’idée d’enregistrer les noms de domaine lolaeteric.com ainsi que ericetlola.com de même que leurs pendants angl0phones.

C’est pour moi la grande surprise.

Je comprends que Lola et Éric ne sont pas aussi populaire que Barack Obama où aux États-Unis,  les spéculateurs se sont emparés de nombreux noms de domaine ayant le ou les mots Barack Obama dedans.

J’ignore si c’est la réalité mais j’ai entendu la rumeur que plus de 10 000 noms de domaine .com ont été enregistrés et contienne le mot Barack et/ou Obama dedans.

Sous Obama l’Amérique sera-t-elle moins puritaine en technologie.

Est-ce que l’élection de Barack Obama, président démocrate, amènera l’Amérique a être moins puritaine en terme de technologie, de publicité télé et de contenu Internet?

Est-ce que YouTube aura la censure moins facile?

Est-ce que Apple sera moins anti iBoobs?

Est-ce qu’on pourra chercher le mot sex sur Yahoo, loobloo, Live, Google et autres sans que les résultats des sites Internet ou des photos aient été passé au peigne fin?

Est-ce que les YouPorn, MaxPorn et les RedTube de ce monde seront-ils plus osés?

Est-ce que les publicitaires nord-américains oseront davantage comme leurs collègues européens?

Est-ce que le dépuritanisation de l’Amérique amènera la Chine à moins censurer les internautes de son pays?

Tout ça est à voir dès l’entrée en fonction de Barack Obama cette semaine.

Les magasins La Source seront-ils sauvés?

Ça été annoncé cette semaine la compagnie américaine Circuit City, détaillant électronique, sera liquidé.

Circuit City avait acheté il y a quelques années les magasins canadiens de Radioshack pour les renommer « La Source par Circuit City ».

Est-ce que la division canadienne de Circuit City,  InterTAN Canada, qui chapeau les magasins La Source, évitera la liquidation?

Je serais très déçu de voir disparaître du paysage québécois et canadien les magasins La Source.

Il faut l’avouer pour trouver des gadgets, le bon connecteur de câble, des outils pour les patenteux électroniques, des voitures téléguidés et via son site Internet, de bons spéciaux avec le spécial du jour « Le casse-rix de la journée », La Source sont champions.

Plusieurs personnes, surtout en région, se rendaient là pour acheter leurs ordinateurs, leur routeur Internet, leur terminal HD, leur appareil photo numérique, leur câble HDMI ou même leur réveil-matin.

J’espère que la chaîne de magasins sera sauvée.