Windows 8 est le coupable de la baisse des ventes de PC et de portables au détriment des tablettes.

Cette semaine on apprenait encore que les ventes de PC et de portables sont en baisse dans le monde par rapport aux tablettes.

À peu près tout le monde croit que la chute de ces ventes est dû à l’adoption du consommateur du format tablette au lieu du format desktop ou portable d’un ordinateur.

ERREUR!

Le coupable, le grand coupable c’est Windows 8. La preuve en est que les tablettes roulant sous Windows 8 RT et Windows 8 se vendent très peu par rapport aux ordinateurs portables et au PC. Pourtant Windiws 8 RT affiche le même interface que le Windows 8 roulant sur PC et portable.

Microsoft s’entête avec son interface Metro (les petits carrés quand vous ouvrez Windows 8). Ils disent avoir consacré des millions en recherche et développement pour aboutir à cet interface.

Or, il s’avère que personnellement je ne l’aime pas et pire… tous les gens sans exception, faux une seule personne, à qui j’ai parlé de Windows 8 et qui l’ont vu rouler disent ne pas l’aimer. Plusieurs dont moi, retardons l’achat d’un ordinateur portable à cause de Windows 8.

Il y a plusieurs ordinateurs portables qui offrent des fonctionalités intéssantes avec l’écran tactile… mais ça ne se vent pas. Windows 8 est le coupable.

Comme quoi Windows 8 est le coupable, partout où le Chromebook a été mis en vente (portable roulant avec le système d’exploitation Chrome de Google), les ventes vont bien.

Alors le coupable ce n’est pas le format de la machine mais le système d’exploitation, en l’occurence Windows 8.

La pression s’accentuera de plus en plus sur Microsoft afin qu’elle modifie son Windows 8. Cette pression viendra des fabricants d’ordinateurs comme Dell, HP, Acer, Sony et Lenovo.

C’est une pression assez intéressante mais Microsoft, avec en tête son président, Steve Ballmer, s’entêtera-t-elle à croire que Windows 8 et son inteface Metro est ce que nous avons tous de besoin.

Il y a quelques années Microsoft s’entêtait et était en position de le faire car elle avait un monopole sur l’industrie des systèmes d’exploitation. Bon bien sûr il y avait l’alternative Linux avec par exemple Ubuntu mais qui s’achetait un portable ou un PC avec Ubuntu à part quelques geeks?

Cette fois-ci avec Windows 8, Microsoft n’a plus la même dominance sur le marché. Il y a Google avec son Chromebook.

Pour ma part je sais que Windows 8 est un système d’exploitation solide, ce que je lui reproche c’est son inteface. Je l’aimais moi le bouton « Start » que Microsoft a fait disparaître dans Windows 8.

Une version SP 1 de Windows 8 serait disponible en juin qui vient. Est-ce que Microsoft offrira la possibilité de désactivé l’interface Metro sur une base volontaire et réapparaître le bouton « Start »? Si elle le fait moi je suis acheteur.

Mais Steve Ballmer a la tête dure mais je crois de plus en plus qu’il met son poste en jeu s’il continue de s’obstiner avec l’interface Metro de Windows 8.

Une autre preuve que l’interface Metro c’est de la merde… Microsoft a mis ce même interface sur les Windows Phone qu’elle vend sur le marché en compétition avec le iPhone d’apple et les téléphones Blackberry ou ceux qui roulent sous Android de Google.

Résultat, les Windows Phone ne se vendent pas bien.

C’est clair que l’interface Metro c’est de la merde, de la grosse merde.

Réveillez Microsot quelqu’un et faites descendre de leur tour d’ivoir vos dirigeants, ces cons qui croient que ce qu’ils offrent comme produit est obligatoirement ce que le consommateur doit acheter et ce dont il a besoin.

Ici CNN Money ne mette pas le blâme sur Windows 8 mais leur argumentation est bien poche. Les tablettes c’est génial mais ça ne remplace pas un portable pour les travaux scolaires et les besoins actuels d’entreprise qui utilisent PC et portable.

Ici, IDC blâme avec raison Windows 8 pour le ralentissement des ventes de PC et de portable.

Allez on veut un Windows 8 amélioré qui fonctionnera comme le bon Windows 7.

Surface Pro, l’ordinateur portable format tablette qui n’est pas une tablette.

Je vais vous mettre en garde tout de suite, Surface Pro n’est pas pour moi une tablette. Elle est d’un format tablette mais c’est un ordinateur avec un disque dur, un écran HD et un système d’exploitation complet comme sur un desktop.

Vous désirez utiliser sur votre Surface Pro Visual Studio 2010,

La Surface Pro qui roule sous Windows 8 Pro n’est pas une tablette. On l’utilise comme un ordinateur.

Le but d’une tablette c’est sa portabilité, comme un iPad ou toute tablette roulant sous Android.

Malheureusement, Microsoft, encore une fois, alienie quelque chose, cette fois-ci, c’est le mot tablette conjointement avec le mot portabilité.

Si pour être efficace sur une Surface Pro vous devez brancher un écran externe, une souris wi-fi et un clavier externe, bien moi j’appelle ça un ordinateur portable, format tablette.

Oui ça peut être utile une Surface Pro pour des emplois qui ont recours à un docking station pour travailler de la maison et ramener le tout au bureau. Avantage ici, le poids du transport.

Vous n’utiliserez jamais une Surface Pro comme vous faites avec un iPad. Oubliez les applications mobile sur Surface Pro, Microsoft vient d’aliéner les applications mobiles en faisant passer pour une tablette un ordinateur portable format tablette.

Réellement dommage.

Au lieu d’appeler ça une tablette, Microsoft aurait dû utiliser un autre terme.

Vous vous rappelez des netbook? Petit ordinateur portable avec écran de 11 pouces. Bien faites subir une cure d’amincissement à un netbook, retirez-lui son clavier et dotez-le de fonctionnalités wi-fi… vous venez d’obtenir un Surface Pro, alias, l’aliénation de la tablette.

J’ai vécu hier chez un ami l’expérience Surface Pro. L’ami en question avait installé Visual Studio 2010 sur la Surface Pro, le tout connecté à un clavier, une souris et un écran.

Jamais il n’a touché l’écran tactile de la Surface Pro au cours de la démonstraton.

C’est terrible ce que Microsoft vient de faire. C’est un peu comme si à l’inverse Harley-Davidson bâtissait une moto géante à quatre roues et qu’elle oserait appeler ça un SUV. Ainsi ça aliénerait le mot SUV comme Microsoft aliène le mot tablette.

L’idée de la Surface Pro c’est la miniaturisation de l’ordinateur portable, sans plus. Le volet mobilité est perdu. Vive les tablettes iPad et Android au diable Microsoft.

Arrivée du Windows Phone 7. Une guerre sans merci à venir entre Research in Motion, Microsoft, Apple et Google

Mes amis j’ai vu mercredi soir la facilité de développer une application pour le Windows Phone 7 de Microsoft.

Un ami a développé équippé de son portable sur une table d’un bar une application Windows Phone 7 en moins d’une demie-heure.

Tous les outils sont gratuits m’a-t-il répété à plusieurs reprises.

Si c’est gratuit et que cela ne requiert pas l’achat d’un coûteux Mac ou d’aller dans une mère perdue de logiciel Open Source… des centaines de milliers d’applications seront ainsi développés pour la plateforme Windows Phone 7.

Selon mon ami, des outils existeraient même sur Internet pour convertir l’Objective-C en C# pour la plateforme Windows Phone 7.

Nul besoin de vous dire que la plupart des applications qu’on retrouve sur le iPhone pourront être donc converties sur la plateforme Windows Phone 7.

Ainsi je prédis qu’avec l’arrivée du Windows Phone 7, une guerre sans merci dans le domaine des cellulaires intelligents s’annonce entre Research in Motion (Blackberry), Apple (iPhone), Microsoft (Windows Phone 7) et Google (Android).

Qui en bénéficiera?  Le consommateur sans aucun doute.

Comme Microsoft est roi et maître sur la plateforme PC, laissez-moi vous dire que ce n’est qu’un pas à franchir pour qu’ils dominent le domaine des téléphones intelligents.

J’ai vu la facilité d’intégration de Windows Phone 7, ne reste plus qu’à Microsoft d’user de leur marketing et se doter d’appareil au design ‘sexy’ et pratique et gagner des parts de marché à vitesse grand V.

Si vous êtes en magasinage d’un téléphone cellulaire intelligent je vous suggère d’attendre la sortie du Windows Phone 7 et de voir la réaction de la compétition en terme de prix et d’offre.

Pour ma part actuellement le Blackberry Torch et le iPhone demeure deux téléphones très intéressants.  Mais j’attends de voir quels seront les appareils qui tourneront sur Windows Phone 7.

Une tablette de Dell avec Android chez Best Buy dès le mois prochain…

Michael Dell, président et fondateur de la compagnie qui porte son nom a été vu lors d’une présentation avec une tablette.  Elle tournerait sous Android et elle serait en vente chez Best Buy dès le mois prochain.

Le iPad de Apple aura définitivement beaucoup de compétition.

La tablette de Dell aurait un écran de 7 pouces.

Voici une photo tirée du site Engadget.

Téléphones cellulaires intelligents: c’est le chaos !

Vous désirez vous acheter un téléphone cellulaire dit intelligent ?

Ça n’a plus aucun bon sens, c’est le chaos.

Pas facile l’emploi de conseiller chez un dépositaire d’un grand réseau national de cellulaire.  S’y retrouver c’est quasi impossible pour le vendeur, imaginez pour le client.

Les fabricants sortent un nouveau modèle par semaine.

Motorola, Apple, Samsung, LG, Research in Motion, Nokia, Ericsson, HTC… nommez-les.

Ensuite vous désirez quoi comme OS?  Android, iOS, Symbian, celui qui tourne sur Blackberry, attendre le Windows Mobile 7 ?

Ça n’a plus aucun bon sens, c’est le chaos dans la téléphonie cellulaire.

Si le monde des ordinateurs seraient aussi chaotique que celui des téléphones cellulaires intelligents, je me demande si l’ordinateur serait aussi répandu.

Le fait d’avoir 5 grands système d’exploitation dans les téléphones intelligents confinent les utilisateurs à une librairie d’applications.  Zéro portabilité d’un OS à l’autre.

C’est très dommage.

Au bout du compte, les compagnies s’enrichissent mais le consommateur nage en plein chaos et souvent pendant toute la durée de son contrat de 3 ans.

Ce n’est pas simple de magasiner un cellulaire intelligent.  Je vous mets au défi.  Vous passerez des heures à lire tout plein de trucs afin de faire le bon choix.

J’ose espérer que la venue du Windows Phone ramènera l’ère des cellulaires intelligents vers un OS majeur.

Un peu comme l’ère pré-PC où règnaient les Commodore, TRS, les Texas Instrument et j’en passe.  Quand le DOS est débarqué sur les ordinateurs, « l’uniformité » a informatisé la planète.

Est-ce que Windows Mobile 7.0 réussira à sortir le consommateur du chaos ?

Je l’espère.

Le Motorola Droid est un concurrent sérieux au iPhone

Après avoir lu sur le nouvel appareil de Motorola j’en conclus que le Motorola Droid est un concurrent sérieux au iPhone d’Apple.

Tout d’abord le Droid tourne sur la plateforme Android 2.0 de Google, d’ou son nom.

Son écran de 3,7 pouces se distingue de celle de 3,5 pouces du iPhone.

Son clavier glissoir se démarque également du iPhone ou l’on doit taper avec nos doigts sur un clavier sur l’écran.

Le téléphone inclus toute la gamme d’application de Google dont Google Maps Navigation qui vous permet de vous déplacer avec un GPS a reconnaissance vocale.  Par exemple vous êtes à San Francisco, dites à votre Droid « Navigate to Starbucks in San Francisco » et il vous affichera une liste des Starbucks de la ville, sélectionnez-en un et vous aurez les indications vocales pour vous y rendre.

Une possibilité intéressante avec Droid c’est de rouler plusieurs applications simultanément alors que c’est chose impossible sur le iPhone.

Aux États-Unis, le Motorola Droid coûte $200 avec un abonnement de 2 ans avec Verizon, le distributeur exclusif.

Qui distribuera le Droid au Canada. J’ai parlé de cet appareil dans mon entourage et plusieurs m’ont répondu, « S’il vous plaît, n’importe qui sauf Bell ».

Disons que iPhone a de la belle compétition avec le Palm Pré, le Blackberry Storm 2 et maintenant le Motorola Droid, à mon avis le plus sérieux adversaire que le iPhone n’a jamais eu.

En terminant le Motorola Droid fait beaucoup plus professionnel que le iPhone de Apple qui lui a l’air d’une bébelle aux côté de l’autre.

Rumeur de fusion entre Palm et Research in Motion

Parfois je m’interroge sur le bienfait de fusions entre deux compagnies.

Par exemple, prenons le cas suivant Research in Motion qui fusionnerait avec Palm ?

Il me semble que depuis quelques années les Blackberry de Research in Motion sont pas mal plus tendance que les produits de Palm.

Alors pourquoi une fusion entre les deux ?

À moins que la direction de Research in Motion veule gaspiller des milliards en argent, je ne vois aucun intérêt pour eux de se marier à Palm, une compagnie qui agonisait jusqu’à tout récemment mais donc plusieurs voient de l’espoir avec leur nouveau produit le Palm Pre.  Certain voit même le Palm Pre comme proche compétiteur au iPhone de Apple.

On se calme.

Ce qui fait la  force du iPhone de  Apple est non seulement ses capacités de télécommunications sans-fil mais également iTunes auquel il est relié pour télécharger des applications gratuites ou à peu de frais.

Research in Motion tente de rivaliser avec Apple avec son nouveau magasin virtuel d’applications, laissez-moi vous dire qu’ils sont loin d’obtenir le succès de Apple de ce côté.

Le problème qui se dessine dans le monde des télécommunications sans-fil (les cellulaires) est important.  Il y aura tantôt trop de joueurs utilisant trop de plateformes différentes.

Research in Motion possède son propre système d’exploitation pour ses Blackberry.  Palm possède des appareils avec Windows Mobile et d’autres avec Palm OS.  Plusieurs nouveaux appareils verront le jour utilisant le système d’exploitation de Google, Android.  Il y a également tout seul dans son coin le iPhone qui utilise le système d’exploitation développé par Apple.

Cinq plateformes majeures disponibles pour plusieurs dizaines d’appareils plus différents les uns des autres.  Palm OS, Apple, Windows Mobile, Android, Blackberry.  C’est un non sens pour le consommateur qui s’ y perd.

Imaginez si les compagnies dépensaient des centaines de millions en recherche et développement au lieu de les dépenser en publicité pour se rivaliser sur autant de plateformes différentes.  Là c’est le consommateur qui serait gagnant.